Il faut que ce soient des dépenses de construction, reconstruction ou agrandissement. Par exemple, il peut s’agir de travaux portant sur le gros œuvre. Sont également admises les dépenses d’amélioration : elles concernent des travaux qui apportent à l’immeuble un équipement ou un élément de confort nouveau, sans modifier la structure de l’immeuble. C’est par exemple l’installation d’un chauffage central ou d’une climatisation ou encore des travaux d’isolation.